INFO – CANONICITÉ

Eglise Orthodoxe
LA CANONICITÉ

Il est nécessaire de donner une précision sur les Églises Orthodoxes ; étayées par un passé religieux important, mais dont on entend dire parfois que certaines Églises Orthodoxes seraient dit  » NON CANONIQUES ». ( NON RECONNU )

Que signifie ces déclarations :

Ce mot  » CANONIQUE » vient du mot canon signifiant règles éditées par les saints conciles dont tous les principes et les commandements touchant à la Foi Orthodoxe sont établies sur des règles ou  »canons » indéformables et définitivement établies.

Les règles disciplinaires sont importantes pour une administration normale établie au sein de l’église mais elles peuvent être changées, d’on ressortent deux formules de canonicité :

Celle 1° ) mettant en place la structure interne administrative de l’église.

Ou 2° ) mettant en place la réalisation et l’émission de la foi de l’église.

Les églises évitant ces règle sont considérés comme non canoniques mais bien valide dans leurs successions apostoliques :

a ) L’église Russe , crées pour s’opposés au régime communiste, fut contrainte à une suppression – d’ailleurs despotique – par ce régime, doit -on la considérer pour autant illégitime ?

b ) Dans certaines églises orthodoxes de Constantinople de l’église Grecque, Roumaine ou Bulgare, on trouve aussi les vieux Calendaristes attachés au calendrier  »Julien »

Prenons l’exemple dans l’histoire de l’Église le nombre important de saints furent déclarer par d’authentiques conciles, comme des schismatiques voir des hérétiques et dont l’épiscopat ne fut plus reconnu.

Comme pour en cité certains : Athanase d’Alexandrie exclu sept fois de son siège par des conciles canoniques … Saint Jean Chrysostome , que Saint Cyrille d’Alexandrie refusait de placer dans ses dytiques épousant la haine de Chrysostome de son Oncle le patriarche Théophiliois ; Saint Photios le Grand que Saint Nicolas le Studite comme tous les moines du Syudion, refusa toute sa vie de commémorer dans ses dytiques ; Saint Alexis de Kiev .

Comme toutes les autocéphalies modernes ont commencé par des anathèmes des excommunications, la grâce des évêques nés, des schismes, comme celui que traverse courageusement notre exarque.

Les églises que l’on insinue parfois  »non canonique » respectent avec une grande sagesse et une profonde dévotion les règles de la spiritualité de l’église orthodoxe.

Il arrive parfois que la communion entre ces églises ne puisse s’accomplir pour des raisons géopolitique administrative ou autres.

Nous restons néanmoins unis par Notre Père Dieu et Notre Mère l’Église dans une pitié profonde.