Chez les chrétiens, les positions sont nuancées, chez les orthodoxes, le remariage est autorisé, dans le cas d’infidélité, pour le conjoint juge innocent.
Ce référer au livre: Commentaire sur les Sacrements d’ Alexandre TROUBNIKOFF Archiprêtre Eglise orthodoxe Russe à I’étranger page 72 a 73. On y rapporte les faits suivants:
*** L’Eglise orthodoxe permet le divorce et le remariage.
Cette tolérance s’ appuie sur les textes de Saint Matthieu (chap. XIX: 9 ) IL est évident que l’Église considère le mariage comme fondamentalement indissoluble et en condamne la rupture comme un péché. L’Eglise orthodoxe aide les pêcheurs en leur donnant d’ autres chances. Lorsqu’un mariage a cesse d’être une réalité, l’Eglise orthodoxe n’exige pas que l’on préserve ce qui n’est qu’une fiction légale.
Le divorce est donc accorde comme une exception, une concession nécessaire au péché humain, c’ est un acte d’ Economie ou dispensions et de charité divine.
Nous savons que Dieu n’impose pas telle ou telle voie.
L’homme est libre de choisir entre l’ acceptation des charismes et des grâces reçus par les sacrements ou de les rejeter.
D’autre part l’Église a pour but de faciliter le salut de chacun de ses fidèles.
Le divorce se prononce au tribunal ecclésiastique pour motifs graves.
La cérémonie du couronnement est donc dissoute, par conséquent l’un ou l’autre des parties peut recontacter une nouvelle union.